La petite vie d'Éva!

Tag: Lecture

Jour 11

Patricksenecal

Bonsoir chers gens!
J’ai décidé de vous parler ce soir d’un écrivain que j’apprécie grandement.

Patrick Senécal

Je me suis acheté dernièrement un livre (Hell.com) de cet auteur que je connaissais déjà.
S’il y a un temps pour lire ce type de livre c’est justement dans le temps d’Halloween, mais ça reste tout aussi agréable à lire à tout autre moment de la journée.

Pourquoi je vous le recommanderais?

Tout simplement, parce que grâce à sa façon d’écrire, à sa façon de raconter l’histoire.., nous sommes capables de se créer une image tout aussi terrible que la tienne. Il réussit à capter notre attention et à la garder, quand on commence à lire un de ces livres, on n’a tout simplement pas le goût de s’arrêter.
Pour les petits lecteurs comme moi, en fait c’est à peine si je me trouve lectrice dans un sens et bien ce sont de merveilleux livres.Ils sont pratiquement les seules que je lis sans que ce soit pour l’école ou une obligation.
Je suis loin d’être une grande fan de films d’horreur, mais je trouve que les livres sont moins pire et peut-être encore mieux que les films.
Bref, si vous avez envie d’une histoire qui sors de l’ordinaire et bien allez-y, c’est votre auteur!
À mon avis, c’est beaucoup mieux que les petites histoires d’amour quétaines des livres. ;)

Mes trois préférés dans l’ordre : 

– Le passager
– Contre-Dieu
– Les 7 jours du talion

Son site :
http://www.patricksenecal.net/

Voilà,
Bonne lecture!

 

:)

Jour 9

Rebonjour, chères gens!

Je me suis encore longuement absentée, je sais!,
mais me revoilà parmi vous avec non pas une recommandation de lecture, mais deux!

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Nos étoiles contraires – John Green

J’ai découvert ce livre sur Instagram en allant voir le #Book ou encore #Lecture… Il revenait assez souvent alors je me suis dit que c’était un bon signe. Je me le suis procuré et je n’ai pas regretté mon achat. Pour mon cas, je ne suis pas du genre à lire très vite, mais en très peu de temps j’ai fini ce livre, car veut veut pas on s’y accroche et même que parfois je me disais qu’il fallait que j’arrête de lire pour en profiter plus longtemps.
En gros résumé, c’est l’histoire d’une fille, Hazel, qui a un cancer et qui rencontre un gars, Augustus, qui auparavant était lui aussi malade. Bref, évidemment il y a une histoire d’amour qui se crée au fur et à mesure que l’histoire avance. Il y a aussi la rencontre avec l’auteur de leur livre préféré qui va les marquer ainsi que d’autres petites histoires.
Je dirais que ce roman est drôle, cute, triste, poignardant… Habituellement, je ne tripe pas trop sur les romans d’histoire d’amour quétaine, mais selon moi celle-ci est différente. Finalement, le livre ne fait que 327 pages, il est simple à lire et a été nommé «Meilleur Roman 2012» selon le Time Magazine. Bientôt, nous pourrons visionner cette histoire dans les cinémas, puisqu’une réalisation cinématographique est en train de ce produire en ce moment, mais si vous voulez mon avis, j’ai toujours préféré les livres aux films inspirés des romans.

 

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La frousse autour du monde – Bruno Blanchet

Suite à la recommandation d’une fille que je connais, je me suis procuré ce livre qui devient de plus en plus mon coup de cœur plus j’avance ma lecture. Si vous rêvez de voyager, mais vous n’en avez pas les moyens, cette lecture est parfaite pour vous. En 2004, Bruno Blanchet a décidé de partir en voyage découvrir le monde et chaque fois qu’il le pouvait (pratiquement chaque semaine) il a écrit une chronique pour «La Presse». Dans ce petit bijou, on y retrouve donc des chroniques nous décrivant son voyage, ses petites histoires, ses rencontres, des photos inédites, etc. C’est comme si c’était son journal intime de voyage. J’adore lire les articles, elles ne sont pas longues et Buno réussi toujours à y mettre une touche d’humour avec son vocabulaire bien à lui, il nous apporte en voyage avec lui. Il y a 4 tomes à cette série et j’en suis seulement au premier, mais croyez-moi je vais vite me procurer les 3 suivants. J’aime bien la façon que le livre a été conçu, il est rempli de couleur, la lecture est facile, il n’y a pas trop de contenu inutile, ce n’est pas un simple livre en noir et blanc dans lequel il n’y a aucune image et aucune couleur, bref pour son coté «esthétique» si je peux dire ça comme ça, je lui donne un bon 10 sur 10 et même pour les autres aspects je lui donne cette note!
En conclusion, si vous voulez de la petite lecture facile, pas trop longue, qui vous fait voyager et rire c’est parfait pour vous et je ne vois pas comment vous pourriez ne pas apprécier ça, elle nous fait découvrir le monde et nous donne encore plus le goût de voyager!

Sur ce,
Bonne lecture ou encore bon voyage!,
N’hésitez pas à commenter pour me donner votre opinion ou encore des recommandations de lecture ou peu importe!

:)

Jour 8

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Bon matin les amis (es)!

Je sais, je sais, je me suis longuement absentée, mais j’étais beaucoup occupée et je n’ai pas pu me concentrer à écrire un nouvel article.

Aujourd’hui, je vais vous parler d’un livre que je me suis procuré hier et dont j’ai fait la découverte dans un reportage que j’ai écouté dans mon cours de français.

La liberté n’est pas une marque de yogourt de Pierre Falardeau

Qui est-il?
Pierre Falardeau est un cinéaste important pour le Québec. Décédé le 25 septembre 2009 à l’âge de 62 ans, il a su faire parler de lui. Il fut un réalisateur, un écrivain et un scénariste qui se battait pour faire valoir ces idées. Il était un militant indépendantiste pour le Québec. Pour lui le Québec était un pays et non une province faisant partie du Canada. Dans ces meilleures créations, on y retrouve le fameux Elvis Gratton, Le party, Octobre, 15 février 1839, etc. Il fut apprécié comme il fut détesté pour les idées qu’ils prônaient et son comportement. Il n’a jamais eu peur de dire ce qu’il pensait. Pierre Falardeau aura laissé au Québec de bons films pour lesquelles il se sera battu de nombreuses années afin d’obtenir un budget ou encore seulement pouvoir le montrer. Il est, selon moi, une certaine inspiration vis-à-vis la force qu’il avait. Il n’a jamais abandonné et à toujours continuer de se battre pour ces projets.

La liberté n’est pas une marque de yogourt : Je me suis procuré ce livre parce que je voulais comprendre un peu plus Pierre Falardeau et j’aime bien sa façon d’écrire. Dans cet ouvrage qui est classé comme étant un essai dans les librairies, on y retrouve des articles qu’il a publiés dans des revues, journaux, etc. Il y a aussi lettres ouvertes, des dénonciations des patenteux de subventions, des répliques aux critiques, mais aussi des témoignages d’amitié et des hommages à ses mentors. Fait-il être nécessairement POUR les idées de Pierre Falardeau pour en apprécier la lecture? Je ne crois pas, en fait cette lecture nous permet de constater qu’il faut se battre dans la vie pour en arriver à réaliser nos projets et on y voit la quelqu’un qui à fait ça pratiquement toute sa vie.

Je recommande donc la lecture de cet essai à tout le monde québécois ou pas, car non seulement il nous montre une personnalité de quelqu’un qui est assez formidable, il nous démontre l’acharnement qu’a l’être humain à persévérer et avancer dans la vie quand il n’est pas dans les hauts placés.

Je vous laisse sur deux extraits que j’ai bien appréciés jusqu’à maintenant dans ma lecture puisque je n’ai pas encore fini de le lire :

«J’écris pour ne pas me laisser abattre. Pour ne pas déprimer. Pour me sentir moins impuissant, moins seul. Au cas où nous serions quelques autres. Parce qu’il y a les gros et les petits et que ramper n’est pas le lot des petits. Et j’écris parfois par plaisir. Pour le plaisir des mots quand on arrive à faire une phrase pas si pire après des heures, des jours d’angoisse. Mais toujours cette panique. Et cette peur de n’être même pas quelques autres, d’être tout seul.»

« Comment essayer de penser en dehors des clichés? Sans être partiel, partial, injuste ou prétentieux? On l’est sans doute inévitablement. Comment ne pas penser avec ses pieds? Librement. Au risque de se tromper et de dire des grossièretés. Comment essayer de réfléchir sur le réel quand le seul réel qui me parvient est le réel préfabriqué par des journalistes morons? Le réel tordu, aseptisé, rendu conforme et acceptable par la presse, la radio et la télévision. Des tartes qui interviewent des tartes. Des tartes de bon goût. Les pires »

Bonne lecture!

:)